Apprenti Woody Allen
C’est l’histoire de Woody Allen qui apprend à John Turturro à faire des films comme lui et à niquer avec Sharon Stone.
C’est l’histoire de Woody Allen qui apprend à John Turturro à faire des films comme lui et à niquer avec Sharon Stone.
Je marchais vers Times Square. Comme un dingue. Si vite que ça me flinguait les jambiers antérieurs. Et j’accélérais encore, comme si je méritais la douleur. Je méritais cette douleur. Me foutre en retard, le jour de mon retour en France, pour une pauvre chemise à carreaux.
New York est tout. Ville antique, ville moderne, ville planétaire, ville du Moyen Age, ville de l’âge de fer, ville d’horreur, ville de beauté, ville de solitude, ville d’extase. Tout cela, ce sont des facettes de la même ville-monstre. Il y a tout à New York. A New York, j’ai ressenti l’extase du tout. Et…
« Sing, sing, sing, everybody start to sing like dee dee dee, bah bah bah dah Now you’re singin with a swing »
« Bonjour Thibaut, Merci encore pour l’interview de ce matin. Je tenais juste à ajouter que bla bla rayonnement culturel bla bla bla bla notre rapide développement bla bla bla invités d’exception bla bla putes. Par ailleurs, j’aimerais vous inviter, toi et Alexis (mon chef) à notre prochaine croisière sur l’East River. A bientôt !…
Le tire-bouchon ne figure pas dans la liste des outils essentiels du parfait globe-trotter. Une bien belle erreur. Avoir une chaussure (idéalement deux) est, en revanche, chaudement recommandé dans les meilleurs guides de voyages. Heureusement, car si un tire-bouchon ne remplacera jamais une chaussure dans sa fonction principale, une godasse, même moche, peut sauver n’importe qu’elle…
Le ciel de New York est beau parce que les gratte-ciel le repoussent très loin au-dessus de nos têtes. Solitaire et pur comme une bête sauvage, il monte la garde et veille sur la cité. » Jean-Paul Sartre, « New York, ville coloniale« , Situation III (1949)